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Les crises d'angoisse

Une boule dans la gorge avec l’impression d’étouffer… La poitrine oppressée… Le cœur qui bat trop vite… Maux de tête, bouffées de chaleur, sueurs et frissons, impression de coulée d'eau chaude ou froide sous la peau, augmentation du rythme respiratoire et cardiaque, douleurs au ventre, diarrhées...


Ces signes traduisent une attaque de panique, autrement dit une crise d’angoisse aiguë (CAA). Un état plus fréquent qu’on ne le croit et qui peut toucher tout le monde sans prévenir.


Car elle concerne 1 personne sur 10 à un moment ou l’autre de sa vie, à cause du travail, d'un concours, d'un deuil, etc. Et même si la CAA est plutôt féminine (deux fois plus de femmes) et survient en moyenne avant 30 ans, quelle que soit l’origine socio-professionnelle, on y trouve parfois un usage immodéré de l’alcool ou des troubles du comportement alimentaire. Les phobies (sociales, scolaires, autres) et le stress ne sont jamais bien loin.


Cela ne concerne donc pas uniquement les personnes psychiquement fragiles...


La crise d'angoisse est extrêmement désagréable pour la victime et spectaculaire pour l'entourage face à cette personne submergée par ses émotions incontrôlables, tremblante de peur, à tel point que l'on peut se demander s'il ne s'agit pas plutôt d'un (autre) grave problème de santé comme un infarctus ou l'épilepsie, et si l'intervention des pompiers ne serait pas nécessaire.


Et ces crises peuvent être nombreuses, et impacter aussi sur la vie sociale de la victime. Ne serait-ce que vouloir s'isoler pour éviter autant que possible les risques d'angoisse, se souffrir mais aussi de déranger ou d'être jugé. Se replier parfois jusqu'à la peur de la crise d'angoisse elle-même.


Alors que faire en cas de CAA?


Il est établi qu'une crise d'angoisse dure environ une demi-heure et se termine par un fatigue intense. En attendant il est important d'écouter la victime, de dédramatiser la crise.

Il y a aussi la solution de conduire  la victime en consultation médicale pour y recevoir des anxiolytiques, accompagnés ou non de thérapie comportementale avec un psychiatre en traitement de fond.


Mais il est aussi conseillé de s'attarder sur des solutions plus douces telles que l'hypnose, l’acupuncture, la méditation, la sophrologie et bien-sûr l'art-thérapie ! ^_^


 
 
 

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